Sur la margelle étoilée de dentelle
S'épanouit une rose belle,
Elle recherche jolies arcanes
Sous l'ombre d'une ombrelle.

Elle étend sa corolle comme étole,
Se glanent tous ses parfums
Fleurissant de fragrances l'air,
Où se trouve la différence
Pour lui apporter déférence.

Mouvance , élégance se gansent
Un tout qui invite à la danse,
Comme belle est cette prestance.

Elle se promène la jolie constance,
Auréolée d'un précieux chapeau beau,
Sa robe comme jolie corolle
autour d'une silhouette, sylphide
Déesse des sous-bois, évolue
En permanence en ce pays de jouvence.

Les oiseaux lui sont compagnies,
Jeune fille au hauts bois,
Tu distances en ta jolie cadence,
Tu rattrapes toutes réticences
Tes joues rebondies conserve la cadence.

Aucun importance que ce silence
Qui baigne de son absence,
La forêt reste féconde,
La cascade retombe,
L'hirondelle féconde
Fend en silence l'air.

Je retiens ce coin d'excellence
A parcourir, temps d'une danse
Une valse d'ombres répandues
A laquelle, mes pensées restent suspendues,

Retiens ton souffle présent
Et souviens-toi de l'absent
Qui te tenait la main
En si belle accordance.

En cœurs finement accordés
S'escaladent en encordées
Le pire des précipices
Et, là sans aucun sacrifice

Alors accorde toi la préférence
D'un coin sans ambivalence
Et construis tes stances
En y rajoutant la belle valence.
Tu auras toujours ma préférence.





Eclairée en ses sentes arborées,

Si belle en 9 syllabes!


Si belle elle était la demoiselle,
Un visage d'ange , divinité
Une princesse, Une belle altesse,
Son visage reflétait bonheur.

Ses yeux, profondeur d'Océan
Semblaient surmonter tous les récifs,
Sa silhouette élancée comme , if
Regards vifs et pourtant ,non rétif.

Ses yeux baignés ,étoilés de pépites
Accompagnait sourires enchanteurs,
Et cela nous rendait tant rêveur,
Sourire, était devenu beau rite,
Elle en avait, elle, tout le mérite.

Le vent coquin soulevait sa robe
Et elle virevoltait en décors
Sa chevelure abondante d'or
Elle marchait belle élégante.

Elle optait pour jolie cadence
Et ne manquait jamais d'élégance,
Regards épris fixés en constance,
Et,des cœurs faisait sa préférence

Elle était Vraiment généreuse,
D'aimer était le but de sa vie,
De partager sa chaleur divine
La bonté fixée à sa rétine,
Apportait la grâce et réconfort.

Fraîche comme un bouquet de roses pures,
Répandait autour d'elle, parfums
A oser doucement respirer ,
Comment à ce charme résister?.

La belle disparut dans un bois,
Et mit cet amoureux vite aux abois,
Elle s'alanguit sur mousse de soie
Et chantonna un bel air, altière.

De rêver l'amoureux s'épuisa
Rendez- vous fut pris au même endroit,
Le jeune homme vif et vite aux abois
Comptait les heures dans ce beau bois,
Poésie, se composa ,se traça la voie,
Il la chanta, d'une claire voix.

La dentellière de Bruges
A trouvé le bon refuge
Et en son bel ermitage,
Termine un bien bel ouvrage.

Un napperon sans âge
Alanguit sur ses genoux
Attend calmement aiguilles,
Qui le perce des ses trous.

Les yeux rivés sur ouvrage,
Elle évite de justesse ,
Et de toutes ses prouesses
Que survienne là un carnage.

les passants croisent regards,
Et se sentent pris d'égards,
Et se concentre la vieille
Au son d'une ancienne vielle,
Petit à petit pose ses points
Elle se trouve en un coin.

La toile se fait si belle
Que les touristes s'arrête
Devant la toile prête,
La trouve comme merveille.

De l'art ,que faire dentelle,
Avec dans las yeux étincelles,
Bruges est des plus connues,
Au point de rose précieux
elle répond à tous voeux.

7 syllabes

Petite rose jouvencelle
Dieu , que tu es encore belle,
Délice de tous les parfums
Là, Ma main douce te retient.

Fragrance, élégance divine,
Dans le sol poussent tes racines,
Et ta lumière apportée
Merveille portée en sentes.

Comme tu es jolie présence
En ce jardin d'enchantement,
Moi, assise sur ce banc

Pour toi ,me sens pleine d'élan
Tes pétales soyeux me frôlent,
Et je me sens le cœur vibrant.

octosyllabes

atelier de poésie

à Aurore, merci pour cet abri

_______________________
--- * --- Monsieur --- * ---

Sur un petit banc de bois vert
vous étiez là seul dans le froid
un matin tout près des vitrines
à quelques mètres du marché

Votre regard semblait perdu
ô frère vous m'avez touchée ..

J'ai entendu de vos sanglots
retenus sous la vieille veste
effilochée d’hivers et peines
et vous avez souri monsieur

Votre regard avait changé
ô frère vous m’avez aidée ..

En acceptant les deux mitaines
avec un peu de ma chaleur
je n’ai pu consoler la peine
blottie au fond de votre cœur.

Première à poser un poème
Dans cet atelier bienfaisant
Touchée de ce compliment
Bienvenue en air de Bohème.


Grand merci de cette confiance
Et je te souhaite d'y trouver gentil refuge, j'aime la profondeur de ta poésie!
soyez les bienvenu(e)s en cet espace de sérénité!!!

Aurore

Dans un petit pays
Des terres boréales
Se lève au grand matin
Une aurore sereine
Qui dispense à chacun
Sa bonté ses attentes
Elle envoie des mots chauds
Aux cœurs endoloris
Des fleurs nées de son cœur
Elle ouvre grand les mains
Pour l’accueil
Et garde ses espoirs
Ses malheurs

Merci pour ta bonté
Ta force souveraine
Nos bras te sont ouverts
Et on t’aime .

Marine
12 décembre 2017

Bien jolie poésie pour notre amie Aurore, parce qu'elle le vaut bien !

Merci Violette pour cette poignée d'espérances ,
Me plaît toujours ta poésie, sa fragrance,
si beau chant d'espérances,
Je te tiens compagnie en constance,
j'essaie de faire évoluer mes vers libres
Pour qu'il fleurissent légers en tes prés!!!

Merci , amitiés fidèles à toi

Macha j'en suis si heureuse à en retrouver la jouvence!!!

pour ton Atelier Aurore

Que de gentillesse en cette poétesse
Un chant d'allégresse
Accompagné de l'éclairage
D'images partagées en prouesse!

Merci Maitia d'être là , présente
Et encore plus fervente!

Je ne sais comment tu fais pour connaître ainsi mes goûts, merci à toi!

- Erratum :

Que lui faut-il ? un réséda,
Un myrte, un ombre, une cachette.
Esprit, tu voudrais Velléda ;
Oiseau, tu chercherais Fanchette.


(Un myrte, unE ombre, une cachette.)

Un de vos sourires me comblerait déjà Salus!



Salus, pourquoi ERRATUM