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Posté à 07h14 le 30 Dec 17
Ici le maître mot est liberté avec amabilité!
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Posté à 07h29 le 30 Dec 17
L'aigle,
L'aigle du haut se son aire
Domine royal toute la terre
Il est de vive nature
Et il a forte carrure.
Envergure immense impressionne
Avec force , il prend son envol
Plane , tournoie, et bêtes frissonnent...
il traque , attaque...
Il fend l'air , domine la terre,
Il virevolte en une volte,
Pique, trucide placide
L'air siffle à son ouïe.
Tête renversée, regard ébloui
Une flamme jaune inouïe.
Il picore, se gave, dort
Et reprend les airs , on frissonne,
L'espace prend toute son ampleur,
Il donne toute sa mesure.
Il cherche la solitude, souligne cette attitude,
Il fait le fier , domine encore et toujours,
Son ombre couvre la clarté,
Il est noir , obscur
Image de Satan, domine le temps.
Il inspire l'homme ivre de possessions,
Ce Don Quichotte, Don Juan
Possède mais jamais n'aime,
Son pouvoir le rend pauvre,
Son pouvoir avec le temps échappe...
Comme d'une lourde chape.
C'est un inquisiteur!
Au final l'aigle devient simple carcasse
Servant de nourriture aux autres espèces
Petit dessert offert , son destin final,
Finie son allure féodale, juste dédale
Seules griffes soulignent son ancienne puissance...
son corps perd toute consistance
Offert en commune pitance,
Plus aucune élégance,
A présent , ses serres elles, sont tournées vers les cieux
L'homme Don Juan se retrouve seul,
Dénigré , repoussé et abandonné
Au triste sort de la solitude
coincé dans sa propre attitude,
Il ne supporte de partager
Seul sa faim de possessions est étanchée,
Sa carcasse devient peu à peu vide,
Baignée par la pluie
Brûlée par le soleil
Jamais à temps , il ne se réveille
Sa carcasse sèche, une croute au soleil
Plus rien n'émerveille.
Tout devient absent,
Un vide absolu,
Plus aucun dévolu
qui l'eut cru!
Alors c'est lui qui erre
Privé de son aire
Privé du bon air,
Il dépérit austère
Et dans la plus vive misère!
Seul l'aigle inspire cette puissance
Il a l'intelligence, sans compensation,
Ne connaît les excavations,
Immense est son EGO
Pour lui trop petite est la terre
Ne lui suffirait pas même tout l'Univers...
Il crée son espace, possède son aire,
Mais c'est face à la terre qu'il meurt
Devenu insipide
Sur une terre devenue aride!
Contrainte de naissance
Il subit cette constance,
La fin inéluctable au bout de son envol!!!
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Posté à 08h03 le 30 Dec 17
Oui l'aigle impressionne mais fait penser à un immense orgueil!
Napoléon pour moi en est exemple quoique par d'autres côtés on peut l'admirer en tous cas , pour sa ténacité aidé de ses nombreuses armées.
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Posté à 12h59 le 30 Dec 17
nouveau poème..................
dernier graine de riz
En mon décolleté
subsiste dernier grain de riz,
Et toujours , radieuse je souris
Je souris , souris toujours à la vie
Je réponds prompte à mes envies,
La vie , oui cela se vit, ne se retire
En une entreprise de plaisirs, on la tire
Et que s'éclatent ces envies
Jusqu'à plus souffle
Jusqu'à ce qu'on s'essouffle,
On s'emmitouffle,
Explosions de couleurs
Et de tendre chaleur,
De multiples fleurs
En un parterre alanguies,
S'attends le printemps ,d'autres défis,
Se remémorent les souvenirs
Qui le panier garnissent d'étoiles,
Il serait temps de mettre les voiles,
Plutôt que de s'incruster sur la toile.
3012201-**-
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Posté à 14h15 le 30 Dec 17
Coucou
pk tu mets du riz dans ton decolleté ? tu veux dire de la poudre de riz peut être ?
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Posté à 14h17 le 30 Dec 17
Non , on lance du riz aux mariages chez nous , voilà l'explication, un petit grain s'est égaré lors de cette fête...
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Posté à 14h29 le 30 Dec 17
hihihihi
tout s'explique ...
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Posté à 20h03 le 30 Dec 17
oui, toujours tout s'explique , il suffit de le dire, mon amie...
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Posté à 20h27 le 30 Dec 17
poème:
Au croisement , routes se terminent en chaussées,
Des hommes seuls dans le froid eux, sont échaudés,
Ils peinent dans le vent, le froid et le blizzard
Et dans leurs yeux on lit des regards si hagards.
En ces moments se manifeste compassion,
Se préparent des soupes bien aimantes, chaudes
Ici d'année en année de doux bras se tendent
Vers de pauvres personnes figées, attente
Illuminée par de chauds flambeaux,
Ce soir , c'est uniquement pour eux une fête,
Qui se manifeste par un repas serein,
sans devoir souffrir encore d'un tour de reins,
Juste un soir de douce fête,de douce retraite.
Se réunissent à la croisée de chemins beaux,
Laissent s'envoler leurs sentiments , du nouveau
La terre veut apporter un peu de chaleur
A tous ceux faisant partie de cet Univers!
Chacun sait apprendre doucement ses leçons,
Et élargir au maximum l' horizon...
La terre est espace pour frères d'amitiés,
Tout ce temps peut leur être consacré!
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Posté à 05h39 le 31 Dec 17
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Toi , l'âme
Toi seule, belle héritière
Tu te faits bel être ou délétère
Toi seule emplit toute la terre,
De joie pure où de la misère.
De la Pensée universelle
Ensemencée et insufflée,
Ensemble de philosophie,
Deviendra bon guide de vie.
Héritage passé présent
Tu te renouvelles toujours
Et garde les marques d'amour,
Et elle te forgent en retour.
Une leçon sans les détours,
Tu te grandis forte chaque jour,
Au miséreux , tu donnes amour
Et fleurit chacun de tes jours.
Au plus sensible tu deviens
Au plus léger se fait chemin,
Au delà de toute souffrance
Où même de l'extravagance.
Et tu connais bien l'harmonie
A atteindre en cours de chemin
Pour apporter réconfort, renfort
Si tu vis c'est pour soulager!
Chacun peut la mener par nez,
Là où la route s'ensemence
Et garder ainsi la distance
Qui éloigne de la souffrance...
Libre l'homme est libéral
Soit il décide qu'il râle,
Soit il se décide pour bal,
A lui de créer festival!
Ce qu'il y a de mieux , c'est le choix,
De garder juste la bonne voie(voix)
Et de suivre ses propres lois,
Purifier sa propre voie.
Elle sait se faire tourterelle
Rendre la vie passionnelle,
Se fait inspirer et sourit
Apporte aux autres ses envies.
( Ecrit en octosyllabes )
31122018-**-
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Posté à 10h29 le 31 Dec 17
Rendez vous pris
Rendez vous pris avec le temps
Ce temps béni du nouvel an
Qui baigne en nouvelles constellations
Apportant leurs illuminations,
S'étoilent les saisons de leurs oraisons,
Se poursuit ma passion
Pour d'embellies horizons,
Le temps se réclame sans concession,
Je pose en mon âme confession,
S'irradie mes regards ,d'égards
Je patienterai au goût des jours
Tranquil apôtre en ma demeure,
J'éviterai tous les heurts,
Et quand viendra l'heure d'un retour
Je développerai tout mon amour,
Je rêverai en balançoire
D'un avenir non illusoire,
J'escaladerai les collines de prés fleuris,
Je jouerai de ma mandoline
Sur le sommet de hautes Collines
Et je rejoindrai la gaieté de jours non écartelés,
D'aimer est ma priorité
Et encore plus , de partager
Les quelques années, avenir
A semer de très bons souvenirs,
Tout reste à conquérir
Au seuil de doux désirs,
Restent encore à frémir
En de doux soupirs,
Aux caprices de ses désirs,
Alors belle conquérante
redonne la couleur de l'amarante
Se poursuivant si désirante
Poursuis ton sentier aimant...
31122018 -**-
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Posté à 11h32 le 31 Dec 17
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Quand le feu s'invite dans l'âtre
Près de la cheminée ,
L'âme s'incline à sa destinée,
Fioritures et non rature
Sur la toile s'impriment,
Et le cœur se serre à sa destinée,
Tout fleur crépite
Tout cœur palpite
Et les regards s'adoucissent
Tandis que les terres s'éclaircissent,
Et crépite et palpitent les flammes
Toutes pensées s'invitent
Dans le hôme destinée,
Sweet Home souhaité,
Plus un peu de frivolités,
Feu dans l'âtre sans retard
Bordées de chaleur avec
Attendrissements au cœur,
Bouffées de chaleur...
Destinée des multiples auteurs,
Apporte aussi chaleur,
Se pâment les pensées profondes,
S'échappent celles désuètes
Ne se faisant concrètes
Et plein de fables se nourrissent de ce feu
Cherchant à concrétiser leurs aveux .
Vite courir, pour le plat sauver du feu,
Une saveur divine s'échappant du four,
Une marmite est à sauver du feu,
Et gargouille ce continu ,
Des flammèches caressent de douceur
De fin mets de fin d'année...
Patience et persévérance caractérisent le cordon bleu,
Car les mets délicieux de tous les aveux
Méritent toutes les prévenances voulues
Pour accueillir en hôte, un invité de marque, gourmet,
Se placent de beaux chandeliers
Sur la table ornée de tout son amour,
Trônent les bougies prêtes pour un discours,
Y voir un peu plus clair sera bonne manière
Pour recueillir un discours bien galant
A la manière , d'un autre temps savant.
Applaudissements en salves de liesse,
La veillée se termine en mots caressants le cœur d'une maman!
31122018 -**-
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Posté à 15h59 le 31 Dec 17
aurore il faut absolument que tu apprennes à compter les syllabes d'un vers...
Clique sur ce lien:
Lien internet
Ou alors si tu ne veux pas apprendre cette base, n'annonce pas que tu écris des octosyllabes ou des décasyllabes...
Ca éviterait quelques échanges vains et longs...
Bonne année!
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Posté à 19h18 le 31 Dec 17
Pierre quand c'est en octosyllabes je l'annonce ,sinon c'est non compté , fait à l'oreille , merci de ton passage, je vais vérifier ceux qui sont annoncés en octosyllabes, merci de ta visite!
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Posté à 19h21 le 31 Dec 17
tu vois ici je ne vois rien d'annoncé au niveau des syllabes...
Quand j'annoncerai le nombre de syllabes , j'y ferai fort attention, merci!
Pour le 12 syllabes annoncé , cela pour moi ne dérangeait pas à l'oreille et e demandait à mon sens donc de ne pas être changé.
Pour ma part je travaille plus à la communication de sentiments et à l'harmonie des sons , une question de point de vue différent...
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