La mélodie de ces ruelles,
Aux chants d'oiseaux, résonne ici,
Au grand tableau, naît d'or dicible,
Voix et prodige des nues belles.
Quand l'étoile est épanouie,
La lune est comblée de lueurs,
La plume est montée de pudeur,
En ces soirs, vers et voie sourient
Le croissant ajuste la sphère,
L'éther se précelle aux dix doigts,
L'esthète s'éveille au primat,
De l'allant, voit sûr se parfaire.
Ajoutant aux sens, la bonté,
Cela de bien faire les choses,
Le sage, l'implexe des roses,
L'amour ample offrant l'art conté.
Joli pétale évanescent,
Un mot laisse en flaveurs, effluves
Un poème en faveur, perçu,
Au dit, l'exact est à présent.
L'esprit des temps est apaisé,
Sans erreurs, tant de la mesure,
Tant meilleur, quand se choie le mûr,
Prestige immense et allégé.
Lignées se cousant à l'ensemble,
Etoffe seyante et soyeuse,
Des beaux coeurs, prégnance est joie pieuse,
Liée, se douant par cent angles.
Le zéphir, berçant les dormeurs,
Porte en son sein la hauteur sobre,
Donne, en sons sains, la jauneur noble,
Le zénith géant des bonheurs,
Avec quelques éclairs de l'âme
Parait consteller l'univers,
L'après comme air vrai sublime ère,
Un précepte révèle gammes.
De bienfaits en bienfaits, se suit
Le chemin des fleurs de vertus,
Que devient cette oeuvre d'élu ?
Le princier rend princeps voeux d'hui
L'aube alors, pour réaliser
La pertinence du cosmos,
L'insénescence d'une osmose,
Docte accord doux et choix, brillés.
Posté à 06h41 le 04 oct. 25