Dans la vie, les douleurs que l’on garde en secret
Ont souvent la couleur d’une rose de mai
Bien trop vite épanouie et trop vite fanée
Quelques instants de vie que l’on ne sait garder.
Comme une tache bleue parmi mes souvenirs
C’est un mal mystérieux dont je ne sais guérir
Amours miraculeux fait de pleurs et de rires
Qui je t’en fais l’aveu me font toujours souffrir
La couleur d’une rose qui se fane au jardin
Est sans doute la cause au flot de mon chagrin
Cette couleur de rose qui se fane au jardin
Certainement la cause au flot de mon chagrin
Je m’accroche à l’espoir, je m’accroche au désir
Que peut-être un beau soir tu pourrais revenir.
Je ne sais que souffrir, il est long le chemin
Jusqu’au dernier soupir je chercherai ta main.
Les ondées de la nuit et le vent du matin
Font des larmes de pluie aux roses du jardin
Je refais le chemin qui mène à ton partir
Je chercherai ta main rien ne peut me guérir
Je l’avais enterré au fond de ma mémoire
Mais il s’est réveillé émergeant des brouillards.
Amour enseveli avec mes souvenirs
Même très aguerri, on peut parfois souffrir
Quand un amour s’enfuie, souvent il vous déchire
Sur les roses aussi que l’on cherche à cueillir
Qu’il est dur le « partir », qu’il est long le chemin
Jusqu’au dernier soupir, je chercherai ta main