J’enviais les deux vies de l’âge…
par Chafia
par Chafia
Toi, mon moi de l’âge sage,
Je t’ai servi de mes deux mains,
Sans détour aucun, ni chagrin,
J’enviais voir de toi présages.
Je n’ai vu que des outrages,
Par la lanterne du matin
Qui consumait les ans en vain.
Son feu avait l’avantage…
Mon espoir est ce grand rêve,
Dans l’autre, après la trêve,
Etre en paix avec mon Seigneur,
Qu’il soit avec moi généreux,
Qu’il fasse que je sois heureux,
Dans le grand jardin aux splendeurs.
Poème posté le 07/02/17