Le chant des Sirènes
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Où était elle ma sirène ?
Celle qui me ferait sombrer abysse ?
J’avais beau garder les rênes
J’étais plus vide qu’un calice
Je voulais m’y perdre pourtant
Dans ce chant de vertu
Je voulais m’y trouver humiliant
Dans ce cri suraigüe !
Je répondrais encore présent
À la prochaine sirène
Qui me lancerait son appel strident
Et dévorerait ma chair agrène.
Je serais piégé par son hurlement
désirant son corps éphémère
je me languirai de son appétit incessant
sous la lune, au bord de la mer.
Consommer encore un bref instant
Cette âme brève et belle
Qui appelait au firmament
De ma vie parfaite et frêle.
Je t’écouterai appel des sirènes!
J’ouvrirai mon esprit, mon cœur,
Mon corps et ma vie pour cette reine
Qui me sortirait de ma torpeur.
Celle qui me ferait sombrer abysse ?
J’avais beau garder les rênes
J’étais plus vide qu’un calice
Je voulais m’y perdre pourtant
Dans ce chant de vertu
Je voulais m’y trouver humiliant
Dans ce cri suraigüe !
Je répondrais encore présent
À la prochaine sirène
Qui me lancerait son appel strident
Et dévorerait ma chair agrène.
Je serais piégé par son hurlement
désirant son corps éphémère
je me languirai de son appétit incessant
sous la lune, au bord de la mer.
Consommer encore un bref instant
Cette âme brève et belle
Qui appelait au firmament
De ma vie parfaite et frêle.
Je t’écouterai appel des sirènes!
J’ouvrirai mon esprit, mon cœur,
Mon corps et ma vie pour cette reine
Qui me sortirait de ma torpeur.
les femmes chantent et leur ode raisonne dans le cœur des hommes qui savent l'écouter! bien à vous poètes
