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De l'irrevers d'aimer
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Ô longue longue était ma peine
Quand le verdir doux n’eût plus lieu
De tes grands yeux de souveraine
Cil cligne interminable adieu

Où sont tes mines chatte Lane
En suis-je jà cet oublieux
Pelotes-tu le soir la laine
Que tienne à loin les envieux

De soirs retiens la chaude haleine
D’apaisement et des lits cieux
De Lune en nuit soit gorge pleine

Le doux zéphyr offre l’aubaine
D’ouïr du chant le séditieux
Et cher mensonge de l’eau vaine.

© Poème posté le 12/03/2008 par Jim

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