Maesta et errabunda
Ô jours de mon calme printemps,
Où l’amour décore le ciel,
Nous offrant muse si belle.
Creux, là résonne un corps tremblant
Je vois une tache blanche, une Stellaire,
Qu’on croit Ipomée dans l’Enfer.
Alors, se souvenir des heureux printemps
Il n’y a de douleur plus grande.
Paolo Gianciotto ! murmure le Chant.
Où l’amour décore le ciel,
Nous offrant muse si belle.
Creux, là résonne un corps tremblant
Je vois une tache blanche, une Stellaire,
Qu’on croit Ipomée dans l’Enfer.
Alors, se souvenir des heureux printemps
Il n’y a de douleur plus grande.
Paolo Gianciotto ! murmure le Chant.
