Sonnet
1
Quand mon regard respire le souffle de ton âme ;
Mon cœur devient léger et s'enfle comme une flamme.
Qui, consumant joyeusement son propre bonheur
Se tourne toujours vers toi et en réclame encore.
Regarde ! Mon Être illuminé de l'intérieur.
Pour entrevoir de cette fenêtre la vive douceur,
De ta généreuse sensibilité qui déverse
De mes yeux surgonflés une averse.
O Apprends-moi ! Si toi, tu connais le langage,
Qui déchiffrera en tendre parole cet orage.
Pour que tu puisses faire connaître alors à mon cœur
Ce qu'il ne comprend pas ; Et qu'il se désinhibe
De cette ivresse qui l'anime de sa liqueur
Pour qu'il vienne enfin te dire ce qui le rend libre.
Mon cœur devient léger et s'enfle comme une flamme.
Qui, consumant joyeusement son propre bonheur
Se tourne toujours vers toi et en réclame encore.
Regarde ! Mon Être illuminé de l'intérieur.
Pour entrevoir de cette fenêtre la vive douceur,
De ta généreuse sensibilité qui déverse
De mes yeux surgonflés une averse.
O Apprends-moi ! Si toi, tu connais le langage,
Qui déchiffrera en tendre parole cet orage.
Pour que tu puisses faire connaître alors à mon cœur
Ce qu'il ne comprend pas ; Et qu'il se désinhibe
De cette ivresse qui l'anime de sa liqueur
Pour qu'il vienne enfin te dire ce qui le rend libre.
