L'arbre éternel du genie
Il y a des choses qui restent succulentes un peu comme la musique de Chopin, c'est vieux mais ça garde sa saveur ça pourri pas comme un fruit.
C'est un peu comme si l'oeuvre depuis son éclosion gardait une éternelle jeunesse.
S'il y a des choses qui traversent la flèche du temps c'est bien le bien le vrai et le beau.
Car seul ces constantes nous poussent au meilleur de nous même.
Si il doit y avoir une conversion de l'âme se serait vers ces constantes ...
Pour être plus nous même.
Être et persister dans l'être
Devenir ce pour quoi on est fait.
Parcequ'on ne peut qu'obéir aux lois qui nous déterminent, qui nous gouvernent...
Les lois immuables qui traversent le temps...
On peut être un génie du bien, du beau, du vrai, des trois peut-être...
Peut être que notre idéal restera toujours un peu baroque, pavé d'irrégularités, car la perfection est inatteignable...
Peut-être que notre but se trouve au centre du triangle et non à son sommet.
La colombe légère qui, dans son libre vol, fend l’air dont elle sent la résistance, pourrait s’imaginer qu’elle volerait bien mieux encore dans le vide. Mais elle ignore que l'air est la condition même de son envol.
Seul l'amor Fati, l'amour de la réalité est la condition de notre bonheur...
Et si il fallait commencer par soi, et si le bonheur était contagieux, plutôt que d'attendre que tout le monde le soit pour l'être...
C'est un peu comme si l'oeuvre depuis son éclosion gardait une éternelle jeunesse.
S'il y a des choses qui traversent la flèche du temps c'est bien le bien le vrai et le beau.
Car seul ces constantes nous poussent au meilleur de nous même.
Si il doit y avoir une conversion de l'âme se serait vers ces constantes ...
Pour être plus nous même.
Être et persister dans l'être
Devenir ce pour quoi on est fait.
Parcequ'on ne peut qu'obéir aux lois qui nous déterminent, qui nous gouvernent...
Les lois immuables qui traversent le temps...
On peut être un génie du bien, du beau, du vrai, des trois peut-être...
Peut être que notre idéal restera toujours un peu baroque, pavé d'irrégularités, car la perfection est inatteignable...
Peut-être que notre but se trouve au centre du triangle et non à son sommet.
La colombe légère qui, dans son libre vol, fend l’air dont elle sent la résistance, pourrait s’imaginer qu’elle volerait bien mieux encore dans le vide. Mais elle ignore que l'air est la condition même de son envol.
Seul l'amor Fati, l'amour de la réalité est la condition de notre bonheur...
Et si il fallait commencer par soi, et si le bonheur était contagieux, plutôt que d'attendre que tout le monde le soit pour l'être...
