Fichu travail !!! ?crir? sans ? !!!

Soupir qui s’alourdit
Dans un matin lascif
Où la nuit a subi
L’assaut d’un froid tardif,

Vision d’un banal jour
Traînant son lot chagrin
Mon corps s’alanguit, sourd
A son assaut badin,

Mais il faudra pourtant
Abolir tout accord
Qui fait mon lit amant
Où s’affaiblit mon corps,

J’adoucirai du jour
Tracas ou vil souci
Franchissant un parcours
Guidant jusqu’à la nuit,

Du chagrin à l’oubli
Il n’y aura qu’un pas
A franchir sans souci
Quand la nuit paraîtra.

Allons !!! Au travail !!!