licenciement
par Gerachau
Chaque jour prendre le chemin
pour un travail par ses mains
accompli dans un but certain
toute une vie un quotidien.
Il fut un temps comme un ruisseau
aussi tranquille ou coule l'eau
qui au fil du temps devient méchant
venant à grands pas au néant
et laissant place au licenciement
par faute de l'homme, de l'argent
Ce que l'on dit, ce que l'on pense
ne change rien à la cadence.
Entraîné par tout le progrès
par tous les postes supprimés
même en présence de nombreuses années
toute une main d’œuvre licenciée.
Mais au plus loin des temps
le riche et le pauvre sur tous continents
le maître à été et sera toujours l'argent
dont tout le monde en dépend.
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Poème posté le 14/10/14