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A couteaux tirés
par Christ


par Louis


J'aimerai jeter sur la toile Quelques couleurs de toi Un sémaphore Mettre du bois dans ce vieux poêle Juste une chaleur de toi Un vieil encore Je gravirai tant de montagnes Pour te voir de plus haut Juste ton corps Je capturerai la lumière Pour qu'elle t'éclaire enfin Et plus alors J'aimerai que la vie me prenne Celle qui me délivre Coquin de sort Je te souhaite tant de bonheur Ma main se désintègre Frôlant un port Le crochet d'Art n'a de raison Qu'un simple fil d'airain Un grand trésor La passion est psychédélique Un brin d'électronique Un farad fort Tant de fusion épidermique Casse nos processeurs Où est donc, Thor ? L'accès machino-pédalo La porte du dingo D'un bon accord Over douta d'un ton sourire La morue était belle Elle sentait fort Once apon a time en riait La banquette tanguait Dit "Srouig a tort" Srouig eut une illumination Le skruk fut bien taré Il fuma dehors Les lampes à iodes clairaient C'est extraordinaire Hier est mort .....



Poème posté le 04/04/13



 Poète
Christ



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 Interprète
Louis



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