La nuit s’enracine et punie,
D’étrangetés mystiques,
La symbiose s’accomplit,
D’imaginer la mécanique quantique,
Sans communion, point de draperie,
La drège céleste écume les ciels,
D’avoir manqué l’essentiel,
Quand l’aube plante le pilori,
L’homme est bien seul d’avoir,
L’existence qu’il s’est créée,
Divines vocales pour vénérer,
Cette voûte étoilée de beautés.