Le ciel noir et lourd
Laisse parfois percer un rai
De lumière pâle
Qui vient s'écraser sur la neige
Recouvrant les ruelles
Trop bruyantes
De la ville.
Je t'écris d'un pays
Qui ne connaît pas
La lumière pétillante
Du ciel d'Oran.
De ton Algérie natale,
Je ne connais que la peste
Et les activités solaires
De ta prose brillante..
Je vais retrouver la clarté
Misérable de la France
D'aujourd'hui en me disant
Qu'il me reste à t'appliquer
Dans ma vie...