« Ma seule Étoile est morte» - et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie*»
Encore lui diront certains ! elle est obsédée, ma parole !
Possible ; enfin, bon excusez-moi si certains mots me font penser à lui, le diable et je pense au « Faust » qu’il a traduit.
« Etoile » et me viennent ces vers du « ténébreux « , ces vers pourtant si lumineux.
Ces vers qui trottent dans la tête et sauvent. Ceux-ci et d’autres. De lui et d’autres illustres veilleurs du ciel.
Des vers comme une constellation qui éclaire le quotidien parfois insupportable.
De la prose aussi qui instruit, amuse, distrait.
Une étoile de mots qui brille dans la nuit des insomnies.
Ne pars pas, reste car sans toi, la Mélancolie me gagnerait.
*Nerval, « El Desdichado »