Amour ? La mer humour...
par Pampelune
Il est des ganses qui s’approchent ; se remportent,
Dont on redoit se méfier, purpura miracle.
A l’instar de la Dryade qui se déporte
A chaque choc de ferveur. Mer*** ! Ses rouleaux me raclent
Le ciboulot de fonds en combles et Moby Dick
Brame. Boomerang, Hopla boum… oh ! Hic !
Ses fanons à l’agonie blettissent… fic et flute !
Efflue amuï le « t » nu en « oi » pour t…
Vanité.
Soupirante de l’Onde que m’avait-il atteins !
Dérive Eternité, immergeant mon esquif
En dessous ta dorsale écharde, tes châteaux d’ifs.
Je suis mortifiée de nèfles en serf à catin…
J’avais été descendante, tâter le nifé
Tellurique.
A crachouiller des naseaux son acide nitrique;
Je l’ai tripatouiller, siroté, reniflé,
L’ai… Je l’ai répudié. Pourquoi ? Parce que quid ?
Parce qu’Elle,
Divinité
Érotique,
Aéro(s)nautique
M’habite.
Son intronisation fut machinale, subite,
Hâtive en moi. Irrépressible Irrémédiable.
J’avais embrassé la sainte hure du diable,
Et m’étais délibérément au Nirvana
Liquide
Engouffrer.
L’amer émoi !
Quand j’y songe…
Ffff… quel ana
D’âneries soufrées !
Je jet’ l’éponge !
Poème posté le 06/11/08