L’indigne roublard, désir de vaincre sournoisement.
Cheminer les évènements à sa gracieuse personne.
Être en totale disposition d’abaisser l’humain.
L’oppression silencieuse, jouir de gestes ignominieux.
Rombière, soumise, la parole au bégaiement.
L’amour aveugle, la servante asservie, heureuse!!!
Désolation humaine, la grandeur minuscule des neurones.
Spectacle désolant, tentation de s’affranchir bêtement.
Le maître absolu, aucun effort, l’absurdité immonde.
Tout autour, la servitude, la contemplation assurée.
Aveuglé d’un esprit médiocre au service de son ego.
La monnaie disgracieuse primant son orientation.
Toute menue, tentant désespérément de s’élever chétivement.
Un désordre hormonal, chiader sans récompense aucune.
Malgré tout, un espoir étouffé, survivre simplement
Dans un désir sarcastique, vie ténébreuse.
La tragi-comédie, deux êtres parallèles, anonymes.
Déception horrible, les regards obtus, l’inutile.
Chassez ces « haleines » de mon entourage fragile!
Respirer la vie loin de l’intolérable énoncé.
L’antagoniste, deux êtres conflictuels,<br />
Un misérabiliste décadent.