Quand les grandes questions des grands vont embarquer
En tenant par la main les petites d’enfance
Sur la nef arborant pavillon d’espérance
Et qu’à Dieu les mouchoirs ont promis sur le quai
Des certitudes...
Quand tenant par la main les petites d’enfances
Dont certaines s’étaient vraiment trop compliquées
Et qu’à Dieu les mouchoirs ont promis sur le quai,
Rien n’est plus simple, alors que taire des souffrances
L’infinitude...
Quand certaines s’étaient vraiment trop compliquées,
Et si la mort dans l’âme n'est qu' omniprésence,
Rien n’est plus simple, alors que taire ces souffrances:
La mort n’existe plus quand elle est au taquet
Des magnitudes !
(1)-L’épave de « L’Astrolabe » n’était pas là où la chercha l’Amiral Jean Guillou : il s’exclama « La vérité est ailleurs »<br />
https://www.bing.com/search?q=la+v%C3%A9rit%C3%A9+est+ailleurs+Amiral+Jean+Guillou&qs=n&form=QBRE&sp=-1&pq=undefined&sc=0-26&sk=&cvid=FF11E53CA26C4C4A8399A0EDBC76F105<br />
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(2)- La vie n’est rien ; la mort est tout. Cependant il n’existe pas quelque chose qui soit la mort, indépendamment de la vie. C’est justement cette absence de réalité distincte, autonome, qui rend la mort universelle ; elle n’a pas de domaine à elle, elle est omniprésente, comme tout ce qui manque d’identité, de limite, de tenue : une infinitude indécente. — (Cioran, De l'inconvénient d'être né, 1973, NRF Essais, p. 179)