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Paix
par Djoze


Mon Cœur se nourrit de tout bois, Mais c'est par elle, Que mon âme s'accroît, On ne peut mesurer le changement, Ni même le ressentir, Mais je sais d'où vient mon Avenir... Elle a cette élégance, Ses mots de velours, Née d'une croyance, Mêlée de mots d'Amour, Et quand les flammes dansent, Autour, Elle apaise la violence, D'un monde souvent trop lourd, A porter. Mais c'est à porté de main, Que Demain renaît. Et quand elle me fait sourire, les larmes et les soupirs, S'envolent, Le temps ralentit, Les secondes existent enfin, Le sens d'être, Là, Devient la raison d'être, Là. Et ce que l'on le cherche tous, On ne le touche, Que pendant cet instant, D'existence pure, Un être qui aime, Quand tout ce qui le constitue n'est qu'amour. Les gens se demandent pourquoi, L'Amour est il si incroyable, Inexplicable ? Il est ainsi, Car c'est le seul endroit, Ou l'homme rencontre la Vie Son créateur, L'amour en Amour. Et comme un pas de géant, Pour l'enfant qui devient grand. La finalité rencontre, L'infini, Et l'univers retrouve, Sa source d'énergie. Que l'amour devienne subtil et discret, Qu'il s'immisce dans chaque détail, Qu'il se camoufle dans chaque recoin de notre âme, En ces temps de bataille, Ou s'étend sans retenue, L'inutile sens détendre sans vertu, Le pouvoir de réunir sans cœur, Comme rallier une ile sans carte. Il en manquera des sourires, Le long de ce chemin a venir. Mais jamais, Il ne mourra, Le cœur flamboyant, De l'homme qui aime. Allumons une bougie, Pour garder en tête, Comme un phare, Que les pouvoirs en tête, souvent en manque. De lumière. De tête. Ne soyez pas inquiet, Tourbillons d'éclats de vie, Merveille de différence Et de sens, Burlesque et flamboyant, Amis, amours, Compagnons de toujours. A vous les vivants, Les libres d'aimer sans comprendre avant, Les heureux citoyens du monde, Les mains ouvertes, Les mains tendues, Ceux qui n'attendent pas demain, Ceux qui disent je t'aime sans retenue, Qui courent, sautent, parfois se blessent, Jamais ne renoncent, Toujours enlacent, Embrassent. Il en faudra, Des pots de peinture, Pour repeindre les murs, D'un pays qui se lasse. Alors commençons Dès à présent, A ramasser, Eaux et pigments, Pour constituer, Les peintres de demain, Ceux qui préfèrent colorer l'avenir. Que de le ternir, De clichés ou de monnaies. De billets et de fausses idées. Le responsable de mes échecs, De mes apprentissages, Je le vois tout les matins, Dans la glace de la salle de bain. Ce n'est pas mon boss,un polonais ou un tchèque. Qui me maintiennent en esclavage, Ce n'est pas la faute du CAC 40, Ou d'un barbu bombardé dans son village, Ce n'est, Que mon ignorance, Qui m'enferme, Dans la souffrance. A l'heure de la connaissance en un clic, L'Amour et la fraternité devraient faire déclic, Mais la peur et notre besoin de se dédouaner, Notre irresponsabilité, Nous préférons que ce soit l'autre le coupable, Que nous le responsable. Pourtant sans cela, C'est notre vie qui s'en va. Reconnaissance et gratitude, A celui qui est blessé Et ne garde pas d'amertume. Tu aimeras ton prochain, Comme toi même, Beaucoup de graines, Furent plantées, Pendant le chemin, De l'humanité. Peut-être que la clé, Et d abord de commencer, Par s'aimer soi, Enfin, Et cela deviendra, Comme toi même, Comme tu t'aimes, Tu aimeras ton prochain.



Poème posté le 30/04/17



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