Elle s’appelait Cathy…
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Une brume pareille à un baiser de toile d’araignée
fraîche de rosée encore, en travers d’un sentier
buissonnier de fougères et d’orties blanches,
voilà ce que l’ancien enfant qui m’habite toujours
voudrait sur son visage, en ce jour de chaleur,
alors qu’il parcourt les rues de la ville torpide…
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Certaine défunte cousine, avec nous, courait les bois,
son petit museau de félin rageur, sur un corps de sept ans,
se crispait pour ne pas se laisser distancer.
Sa voix acide se doublait d’un sens piquant de la répartie.
« Elle est maigre comme un chat de gouttière ! »
disait à ma grand’mère l’oncle en baissant la voix…
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Maintenant que la nouvelle de sa mort est arrivée,
je m’attriste – trop tard – de ce que nos vies, à hue
et à dia, par les aléas de l’existence aient si fort divergé.
Un moment parmi nous ce fut comme la venue
d’une petite sœur inattendue qu’on nous avait confiée
pour les trois mois d’été tandis que ses parents
divorçaient. Par la suite, on ne l’a presque jamais revue.
C'est lié au baptême également, en sous-jacence !<br />
C'est pour tester si le logiciel fonctionnne ici...