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L'irréel
par Colline


La lune tire sa reverence distraite Et le silence aux gazouillis en délire Au premier lever du jour à voilette A laissé choir le mirage qui déchire. Que des draps insaisisables jaugent l'argenté Par les ganses de moire froissées Caricaturant le souffle apeuré De la fée vagabonde enivrée. L'ampelite du ciel d'un bleu turquoise A l'invisible vadrouillant d'irréalité en bouture Égratigne le mirage de larges courbures Que le magicien suggérait de sa flûte courtoise



Poème posté le 23/08/16


 Poète
Colline



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