Dialogue surprenant.....
par Tonindulot
Dialogue surprenant avec la Muse en éveil
Elle coule l’œuvre et serpente en roucoulant
Le vide où je me perds me rend, hélas, fort triste
Tant son silence m’est étourdissant et froid.
Aucun rai chaleureux n’illumine ma piste
Je ne vois que regards échappés d’un beffroi.
-Ami poète et doux compère
-Tu vis ta peine avec la mine
-Qui dit ton port si peu prospère
-Sous ce rictus qui t’illumine.
-Or cet état me peine aussi
-Car je te veux bien plus loquace,
-A nous conter, sans trait grossi,
-Moult récits sans dédicace.
J’entends ici des voix qui crient autour de moi
Que l’abandon soudain est vilaine infortune.
Surtout quand les amis vous ont dit dans l’émoi
Que leur fidélité se donnait sans lacune.
-Vaine parole en apophtegme
-Dit tout le fond des grands slogans ;
-Elle est le feu du sage en flegme
-Parlant toujours avec des gants.
-Toute promesse a pour valeur
-De l’écouteur la fine oreille.
-Car croire hélas au miauleur
-Fait succomber toute merveille.
Pourtant je voudrais tant vous parler de souffrance
De pensée tortueuse où l’on perd son latin,
De soupçon justifié qui détruit l’assurance,
De l’asile où le droit exclut le baratin.
-De ton chagrin j’entends le cri
-Et je consens à connivence.
-Ecoute moi, humble proscrit
-Je vais t’aider pour délivrance.
-Viens sur le champ près de mon sein
-Et de mon souffle aspire l’âme,
-Tu y verras un beau dessein
-Se consumer en douce flamme.
Je vois, là-bas au loin, s’enfuir l’ivre bateau
Qui livre aux exilés un chant plein d’allégresse ;
Et j’entends la sirène hurler au fond de l’eau
Qu’il ne faut surtout pas s’en aller vers la Grèce.
-Veux-tu guérir de cette peine
-Ou te vautrer dans l’isoloir ?
-Tu n’as vraiment que peu de veine
-Car ton sang rouge est plus que noir.
-Maintenant sors de cet état
-Pour prendre enfin la bonne sente
-Car l’on te voit surtout bêta
-A ruminer, mine impuissante.
Je dépose, à l’encan, là devant, sur le sol,
Une simple coupelle où livrer son offrande.
Je verrai sur le champ si dès lors j’ai du bol
Si tous ces gens émus ont vraiment l’âme grande.
-Je resterai fort vigilante
-Voir le ballet qui va partir.
-Car les bruits sourds d’humeur galante
-Sont à blâmer pour départir.
-Fais ton chemin, prenant la pente,
-Va bien plus haut, sans t’essouffler
-Là-bas se tient la seule rente
-Où l’ennui peut se camoufler.
Poème posté le 17/12/15
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