Grand gouvernement mondial
par Kiriyatskiy
par Kiriyatskiy
Strophes poétiques politiques
des poèmes philosophiques:
Les métriques se réaniment
À une sphère du grand abîme
La mafia d'argile estime
Cette ère hiérarchique sans mœurs.
Je renais des hommes en peur
Pour ces vers avec ma rime.
D'avoir un compositeur,
Par grand-père, était mon crime,
Car j'envoie tout cet argent
Pour lire sa musique classique
À l'ordinateur... Je pique
L'œil qui voit vos requérants
D'asile, griffe son hystérique
Voix du roi des autres gens.
Aujourd'hui, pour obtenir
Sa fortune sauvage, il faut
Vivre pour nos règnes des faux
Dieux qui cachent ton avenir
Au dessus son aire des feux
En désert, sous ce plaisir.
Hors des jeu en loterie,
Le talent n'aura nulle chance
De gagner l'indépendance
De son esclavage qui rit
Sur toutes nos intelligences
Sans consécration chérie,
Où des œuvres plus géniales
Ne verraient jamais leurs scènes,
Si ne les signait nulle main
Du gouvernement mondial
Qui fait, comme rompt, nos destins
Par l'imperfection spatiale.
Au chef, sont pires ceux qui laissent
Leurs travaux hors du contrôle
Par l'élite, sans sa parole...
Qui est libre des richesses
Matérielles, ignore le rôle
Essentiel de leur noblesse.
Quelles réponses naissent!
Tu abaisse ta jeunesse,
Michel Venne. Sans ton stresse,
Ce corps gros s'intéresse
Aux bisness sans sa caisse.
Reconnu dépendant
De vos dieux et des clans,
Tu maudis chaque talent,
Où tu voles son argent.
Aux patrons appartient
Leur fameux canadien,
Car ne fait presque rien
Sans désir des doyens.
À travers les lunettes,
Tes États me rejettent,
Où préparent plusieurs dettes
Pour vos pauvres poètes.
Aux barbares va ta Rome.
Venne, oublie où nous sommes
Et t'oppose aux jeunes hommes...
...Tu es comme l'ours en gomme.
En hiver, tes vieux fourrent
Leurs bottes pour l'autre jour
Entre l'âge et l'amour
Du chanteur troubadour.
Reste, Venne, par mes vers,
Dans l'art de l'Univers,
Et évite ton enfer,
Car je bats tes chimères.
Mais ma Muse fait savoir
Que l'on rompt chaque espoir
Par l'esprit du "Devoir",
Où l'on cesse de le croire
Et refuse tous les grands
Sans mafia cependant:
Ce mensonge aux gens
Voit l'heure de l'occident,
Vit ton ombre morale,
L'homme devient l'animal.
Regardons des hautes salles
Sur la masse médiévale.
En vidéo, je récite ce même poème en Youtube ici https://youtu.be/vAkxj7F8u2Y
Poème posté le 19/11/15