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Douleur
par Muse


Je ne voulais pas de toi, ô douleur irréelle, Qu'un soir tu es descendue sur ma ville mortelle; Recouvrant d'une ombre noire la jeunesse fêtée, Dans les rires et l'insouciance de sa liberté. Lorsqu'ils aimaient le plaisir de la vie et la nuit, Toi, leur bourreau, tu es venue t'abattre sans bruit, Prendre leurs âmes aux joyaux de pures beautés, Dans ta monstruosité tu les as emportés. Viens, douleur insupportable de l'inacceptable, Laisse la jeunesse défunte dans l'implacable Fin tragique, quand leurs destins aux spectres vils, Les emmènent aux cieux des terrasses de joies, Dans un doux linceul de paix s'ouvrant sur les voies Du bonheur exalté aux espoirs de fêtes éternelles. Que leur voyage soit doux et que leur sommeil Rayonne en d'éclatantes lumières de merveilles. Muse



Poème posté le 17/11/15


 Poète
Muse



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