Désert
par Cielbleu
O désert immense,
A perte de vue et d'horizon.
Tes vagues de sable blond,
Ondulent sous un vent brûlant,
Soufflant parfois en tempête,
Troublant l'azur de ton ciel.
Vide de toute verdure,
Ton feu, condamné par le diable,
Assèche hommes et bêtes.
Dans ta nature solitaire,
Même tes bruits s'évadent
Dans un cri de silence.
Mais, tes oasis,
Perles d'eau salvatrices,
appellent à la vie
Et dans un supplice,
font paraître ta beauté.
Gérard Bollon Maso
Poème posté le 09/11/14