A l'aurore de leurs bons jours, sur le quai de leurs destins,
En arc-en-terre, sont venues se déposer ces perles de rosée.
S’écoulant du miroir des âmes de ces femmes de chagrin,
Triste sort pour ces femmes de marin, le sort de tant les aimer.
Il est de ces jardins, ou éclosent ces belles roses, rouges baisées.
S’épanouissant vite, lors de cet espace, ce temps de leurs désirs,
Car elles savent, dés que le crépuscule atteindra son apogée,
La vie leurs prendra la beauté du papillon du jour de leurs plaisirs.
Il est de ses amours impossible, comme la rencontre du jour et de la nuit,
La terre et du ciel, il est parait il, que le rouge et le noir est la lueur de vie,
Comme cette source, cet Oh d'espoir, qui coule en fontaine, celle si claire,
Ou on peut s'y abreuver et voir a l'aube, se ressourcer ces âmes qui y errent.