Armez vous de bons sens...
par Tonindulot
Armez vous de bon sens pour marcher chaque jour
Vers ce cap si lointain qu'en est doux le séjour:
C'est un coin de silence apportant tant de joie
Où personne ne pleure et où nul ne se noie.
Cet Eden est serein et ses chants sont joyeux
Car des êtres sans peine ont le poil si soyeux
Que de les caresser vous met la chair de poule
Sans jamais vous lasser, ni vous mettre d’ampoule.
Vous verrez au perron de cette humble masure
Pendre des oripeaux qui font de l’embrasure
Une enseigne paisible où le bruit du canon
Est celui de l’accueil d’un gentil compagnon.
Lors si par sympathie et amour du partage
Vous montrez des joyaux dans votre paquetage
Vous pourrez vous mêler aux discours amicaux
Qui renoncent sans peine aux édits radicaux.
En ce lieu de bonté point de juge en tunique
Ni d’avocat hardi criant d’accent tonique.
Avoir voix au chapitre est permis sans décret
Sans jamais redouter d’être mis au secret.
La terre est de bon loess et supporte les vers
Qui fouillent le terroir de son bel univers.
Les fleurs ont le parfum de l’amitié sereine
Qui guérit par ses mots de l'ineffable peine.
Vous avez deviné ! Vous êtes arrivés
Dans la belle oasis où les vers dérivés
Sont des égarements d’humeur fort passagère
Qui pleure de douleur en piètre messagère.
Poème posté le 23/01/17
Poète
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Aux mots dits sans coeur....
Je t'ai tout pardonné...
A l'automne les troupeaux redescendent ...
Armez vous de bons sens...
A l'heur du pastiche....
Sur une idée d'un autre voici mes vers ...
Au donneur de leçon...
Après avoir longtemps érré sur le rivage....
Aimer toute saison pour ce qu'elle est
Amours enfantines, marques éternelles
Ferraillez, mon Ami, sans plus vous courber
Que n'ai-je donc su plus tôt....
Délire ou psy chose en léonins
En ma rase campagne...
Être enfin homme de poids...
La potée ne sale pas la marmitte...
Il est mort le soleil...
Que soit la joie....
Des pensionnaires académiques...
La fermière infirmière....
Sur le trottoir...
Ô muse infirmière donne moi l'onction...
Au film de la vie...
Ma femme et le succube...
Deux pour le prix d'un...
A toi qu'on dit étranger...
Le rat de marais...
Avoir un compte en cieux...
Prenez mon sac cadeau...
Clerc de lune...
Je m'apprête pour l'automne...
Le sot fat sans fauteuil....
Les moissons sont finies...
Que jeunesse se passe....
Succombez donc aux éclats d'eau bue..
A toi poète de toujours....
A celui qui doute...
Gardons, mon ami, la force de gloser....
Pour mieux viellir ensemble...
Satyre à boulets rouges..
Ô Princesse en errance...
Parlons peu, parlons bien...
Difficile d'être en tête de l'art...
Le sens et l'assommoir...(2 rondeaux)
Je me suis trompêté de fable
Gardons surtout l'espoir...(rondeau)
L'écot du vigneron...
L'affable en galant bourg....
Le ciel au style d'hiver...(rondeau)
Un mec affable doit rester mec à fable
Je suis bien un berger
Fait d'hiver
Le Médoc peut soigner...
Un printemps sans hirondelle...
Au final, la coupe des vices....
Buvez ces quelques vers....
Dur de suivre le confinement
Ô toi ma douce Mie...
L'onirique vie sans appât...
Cousine ! prenez-moi...
La décadence en décas denses...
Ce temps me porte au nu...
Devenez professeur de l'être...
Ne pleure plus, ami fidèle...
Pourquoi donc faire jeun..??
Ô soleil mi-haut....
J'ai rangé mon violon...sans sonner
Les mots d'Est, dès le levant...
N'écrivez plus cela....
On ne nous tolère plus rien...
Pourquoi pas aujourd'hui ?.....
Être un Homme de lettre.....
Oeil pour oeil, vers pour vers....
Allez-vous faire voir ?
Le Pari est au vert....
Du temps de l'alpage...
L'affable peut toujours servir...
Les Rois-Mages bénissant les Mois-Rages
Histoire de loufoque...
Promenons nous dans les bois...
Envoyez, c'est pesé...
Croiser le faire et l'être au lavoir...
Les arcanes du coeur...
Dans l'alcôve lovés....
Sur les ondes du Site...
Comment passer à l'acte....
Espère toujours, le temps changera...
A narcisse se voilant la face
Parlons peu, parlons bien...
Dites-moi, par bonté...
Demande en mariage....
Si seulement tu voulais bien...
L'âne v.s.l (en décas denses)
Voguons loin, mais revenons au port
En votre douce alcôve...
Les amours secrètes....
Louez-moi donc un peu...
Ô poète incompris...
Que vogue ma galère...
Quand les deux s'y mettent...
Comment régler son conte....
Je lis de-ci de-là
Je ne puis me résoudre...
Les débuts de ronsard...
Qu'en dit la muse rhénane ..
Un secret...taire
Où es-tu donc passée..?
Prions donc ensemble...amie
Si le vent souffle rentre auprès du feu...
Mignonne ! Allons voir si l'herbe est aussi verte
Ballade des fondus...
Complainte d'un tordu...
Ah..Les premières fois...
Venez donc par ici, tout petit timoré...
Quand l'appel me cueillit comme une feuille morte...
La fuite des cas piteux....
Temps de saison...
Eloquente correspondance...
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