Petit matin
par Varech
Hostile
la rue m'englobe
de ses odeurs lourdes
pesant ses flagrances
en des assauts fragiles
Marcher
échapper
aux traquenards de brume
aux ciseaux de la pluie
taillant sans fin l'esprit
Déchirés
s'abandonnent
des fragments de mémoire
déstabilisant la structure
édifice sans méthode
auquel je me raccroche
Poème posté le 30/03/16