Jardin en fusion
par Capella
Soit l’Adam du matin, devinant les délices,
Qui dansent au mur en volutes insensées,
La vieillesse des volets et la nuit si complice,
Soulèvent la lumière en ombres animées.
L’impertinence du matin, imaginant des récits,
Où serpentent des routes, qu’en disent les rumeurs,
Nos lueurs s’évanouissent dans des rêves peu précis,
Tes yeux bleus se voilant en perles de couleurs.
Je suis l’Eve du matin, écoutant aux façades,
L’infidèle se donnant aux sauvages gourmandises,
Entre les fissures, les "douces enlaçades",
Dans mes ailes s’emmêlent les lèvres de Lise.
Poème posté le 07/06/13