Les confins de la nuit
par Louis
Votre navigateur ne supporte pas le lecteur mp3.
par Louis
Les étoiles aux aguets épient
La terre silencieuse.
À cinq heures, un unique oiseau
Ose un timide chant.
Sept heures : couleurs de l'aurore,
Les gouttes de rosée
Étincellent au soleil levant
En joyaux argentins.
Neuf heures, inondées de lumière
Les ombres se retirent.
L'éveil doré évanoui,
Seul survit un parfum.
Poème posté le 13/10/12
Poète
, Interprète
Ses autres poèmes
Métro, RER
La grand mère
Une randonnée perdue sous la pluie
La petite fille joue
Côte d'azur
Chêne liège sur la plage
L'été, sieste sous un frêne
Nettoyage de la tour, la Défense
La baie d'Ecalgrain
Ciel sombre traversé par des rayons de soleil
Fantôme (vieux souvenir?)
Fin du règne de la machine à café?
Une dentelle s'efface
Un gros camion sur la route enneigée
La porte aux vieux volets
Sieste sous l’olivier
Elles jouent aux parques sous le grand arbre
Un nuage isolé s’élève
En métro, la rejoindre
Balade sur une voie romaine
Une Toile Apaisante
Structure métallique
Extra-terrestre
Grand ensemble
Balade, temps pluvieux
Lamentations du poète déprimé
Cette nuit, il a fait un temps bizarre
Le secret entrevu
Désinvolture
Rosée du matin
On entend dans les champs…..
Miroir
Étrange
Pétales
Brûlant crépuscule
Blues du vieux bouquin
Sur le chemin
Barrière rouillée
Les confins de la nuit
Vieux souvenirs
Le petit bouton
L'enfant dessine
Le vieil arbre
Chant de l'oiseau
Mélancolie, un vieux village
Ronces
Lune
Le gel est en balade
Orage, tremblement
Perpétuité immuable ?
Mésanges
Banlieue, la nuit
L'imposant massif rocheux
Ses autres interprétations
Sous leurs voiles étoilés
Me noyer dans ses iris bleus
L'émotion
Le temps de la nuit
Fantaisie
Soupir
Apprenez-moi
L'heure bleue
Myrtho
L'offrande
Petit air (I)
Pénombres
Flaque
Et de l'autre côté du tableau
Dans le silencieux automne
Alléluia
Quand là-bas l'enchante à nouveau
Carmen
Le frisson
El Desdichado
Sans elle
Comme union
Vous qui retournez du Cathai
Bœuf mode
Nuée d'étaux
Une plume ....des mots
Eclair nor
Marine
Finlaggan, brunes roses
Une dentelle s'abolit
Raison
Artémis
Sainte
En Arles
L'impression d'une promenade
En corps d'encre
Bohémiens en voyage
Flamenco
Chimère en voix
Avatãra
Damner un saint!
Larme
Eldorado
Du coup de foudre au fantasme
Le Spectre de la Rose
La grange
A une femme-enfant
A l'éclair violent de ta face divine
Dans le grenier de Jacqueline
Mourir
Les confins de la nuit
Ses purs ongles très-haut
Princes de la Chine
Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant...
Que m'est-il arrivé ?
Celestes fumées
L'étoile a pleuré rose
Ô jour qui meurs
Nocturne
A couteaux tirés
Mana
Au village
Et le jour succombe
Flamme de Comanche vaudou
Au temps des chrysanthèmes
La balance des bleus
Fénimine
S'asseoir sur un murger
Pour avoir trop aimé ...
Aux revers des mémoires
Mystère
HaÏkus et tankas
Le murmure
C'est l'instant
Rhodanienne cavalcade
Qu’est-ce pour nous, mon coeur
Percer le mystère ?
Quotidien
Ballade première
Ondine
Rêve apocalyptique
Fantastique, élastique
Les sorcières
Album
Le Bac
Petite fille.
Qui plus se plaint n'est pas le plus malade.


Détaché des latitudes
Canicule
Dernière sente
Les ouvriers de la dernière heure
A la recherche d'un autre vie...
Des heures durant...
La délicatesse
Doux instant
Sur une branche fragile...
Fil d'Ariane
Campagne de Chabrol
Le réveil
Au gré de la chimère
Les fées
En mode campagnarde
A cet instant
Intemporel rêve
D'une plume chérie
L'écho
Aux portes du passé
Le clair-obscur du temps
Le soir