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Posté à 06h52 le 17 Jan 18
A l'aurore sont nés, alexandrins sans frein,
S'accorder la faveur, de monter en ces cimes,
Quel plaisir si intime, en lui trouvant des rimes,
Oh joie et foi au cœur, de les retenir,chœur.
Confiance accorde droit, d'écrire ce bonheur,
Et partager ensemble, en la feuille qui tremble
Que se bourgeonnent feuilles, laissées en ce deuil
Et combien las ces écueils, si durs à surmonter.
Grand merci Pierre tu vois j'ai encore besoin de ton aide bienveillante!
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Salus
Membre
Messages : 6938
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Posté à 13h27 le 17 Jan 18
Pierre a oublié :
"Confiance accorde droit/ Inscrire ce bonheur" 13 !
...Et L'Aurore, qui a vaillamment corrigé, outre le vers ci-dessus, en a loupé deux autres :
"Se bourgeonnent les feuilles, laissées en deuil" 11 !
"Et combien las ces écueils, si durs à surmonter" (C'est rien de le dire) 13 !
Mais tu progresses, Aurore, tu progresses !
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Posté à 17h33 le 17 Jan 18
Je ne sais comment c'est possible, cela finit par m'énerver mes fautes aussi , vous êtes gentils de m'aider!
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Posté à 17h42 le 17 Jan 18
Confiance....Bonheur = 12 syllabes recalculées
Et se bourgeonnent les feuilles laissées en deuil=12
Et combien las ces écueils....=12 recompté
Merci de passer me contrôler!
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Posté à 17h46 le 17 Jan 18
Ensemble corrigé repris plus haut...
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Salus
Membre
Messages : 6938
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Posté à 17h52 le 17 Jan 18
Confiance accorde droit, inscrire ce bonheur, 13 !
Partager ensemble, en la feuille qui tremble 11 !
Que se bourgeonnent les feuilles, laissées en deuil 12 !
Et combien las ces écueils, si durs à surmonter. 13 !
Compte sur tes doigts, voyons !
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Posté à 18h36 le 17 Jan 18
con/fiance ou con/fi/ance ? Comment le lis-tu ce mot Auror'Flow ?
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Posté à 11h11 le 18 Jan 18
Moi je choisis con/fiance pour meilleur consonance à mes yeux!
Merci Lo de ta visite et de ta lecture, rien ne peut me faire plus plaisir!
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Posté à 12h48 le 18 Jan 18
Peut-être est-ce là qu'est l'os...
En classique, il est nécessaire de se renseigner sur l'étymologie du mot sur lequel il y a doute pour connaitre le nombre de syllabes réglementaires...
Utilise le Littré :
Lien internet
Juste sous le nom est inscrite sa syllabation : (kon-fi-an-s')
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Posté à 13h11 le 18 Jan 18
Que du contraire , en plein travail de correction , vous me surprenez...
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Posté à 13h15 le 18 Jan 18
Lo, merci , en effet 3 syllabes dans confiance , corrigé le vers en question, je crois qu'enfin il ne reste plus de fautes , ouf et merci du coup de main offert avec spontanéité!
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Posté à 13h33 le 18 Jan 18
Bon Auror’Flow, ce que tu as fait, d’instinct, s’appelle une synérèse : tu as lié deux syllabes en une ; ça peut se faire quand on écrit en poésie libérée.
Ne perds pas le lien vers le Littré.
Mais pour ton vers :
Confiance accorde droit, transcrit ce bonheur,
Salus te parlait de césure ; ici ton vers est déséquilibré
Look : Con/fi/an/ce ac/cor/de/ droit,// trans/crit /ce/ bon/heur
Ça te donne un découpage en 7/5.
Pense au sens également.
Essaie un truc plus court. Là, il y a beaucoup à travailler. Fais un quatrain (un seul), je ne sais pas, sur un coucher de soleil (j’ai vu que ça t’arrive d’en prendre en photo…). Un seul quatrain bien pensé
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Posté à 13h51 le 18 Jan 18
Au soleil levant
Accoudée et admirant le soleil levant,
J'écris en ce moment cette Beauté, confiance,
Que de clartés nous éclairent de leur portées,
Ocres et tous mélanges rosés en la clarté,
Et J'en ai le visage encore visage illuminé,
La chanson en notes légères apportée
En mon visage y brille regard assorti,
De splendeur en la vie , me sens réjouie.
Voilà , est ce mieux ainsi?
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Posté à 13h56 le 18 Jan 18
Un quatrain M'dame, c'est un truc comme ça :
(je t'en ai choisi un de Lamartine -que tu aimes- le premier de l'isolement)
Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ;
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Prends le temps...
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Posté à 14h25 le 18 Jan 18
Souvent seule reposée, de temps libre entourée,
Près de moi se parfume, la rose belle posée,
Baignée de rosée, elle naît au jour levant,
elle allonge pétales, se prépare à ce bal
Et le temps doux passe , avec ardeur et audace,
Se transcrivent pensées fugaces, qui bien souvent agacent
En un cœur délicat, un papillon se pose,
Et si tendre ce cœur, ne supportant douleur.
Dans le ciel brillent étoiles et s'enfile leur voile
Et je me sens perdue, tout au fond de mon val
Se continue au soir , ce merveilleux cadeau
Se rend joyeux le ciel, en enfilade toiles
Et se concrétisent d'or, des cristaux en cavale
Tandis que mon esprit Prend un bien doux repos
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