Merci à la "Licorne" de pointer cette faute, qui, à ma décharge, n'est ni d'un vers, ni une citation, quant à mon orthographe défaillante, je n'en fais pas mystère, ni ne crois "prendre" personne ; je me contente de signaler une fausse note.

Merci, surtout, à Lo, qui tente (enfin) de faire la promotion du savoir et du respect de l'auteur !

(Cependant, cher Lo, il conviendra de se méfier aussi des pourtant fort sérieux "Wiki", dont il me semble avoir déjà repéré une ou deux erreurs - à qui se fier, mon bon monsieur !)

Merci Lo de toute cette générosité!

En effet, Salus, c'est un "péché véniel" que le dieu des grammaires pardonne volontiers.

En ce qui me concerne, c'était "pour du rire".

Merci mon Dieu !

Chère Maitia,
Mille excuses pour le poème de Victor Hugo,
Je vois que tu avais raison,
J'en suis toute chamboulée
De m'être trompée, je fus embrouillée par les propos de Salus
au sujet de ce poème!!!

surtout ne prend pas la fuite du site, tout le monde peut se tromper ...
Tu es si adorable et pour tout le monde bien intentionnée, reviens plus vite que tu n'est partie , cela me ferait tellement plaisir!

N'importe quoi !
Je maintiens mes propos, tout est ici vérifiable !

Alors je suis confuse Salus,
cela me désole fort,
Je te fais confiance!

... svp (et juste pour ma gouverne), en résumé, c'est quoi ce pataquès?

J'adore ton humour!
Nous en étions à Victor Hugo...
Je n'ai plus assez d'années à vivre pour pouvoir simplement parcourir Victor Hugo!!!

Me manque beaucoup d'années pour le parcourir,
Et pourtant là , ne me manque pas le désir,
De ne pouvoir le faire me fait souffrir tant souffrir,
Ce maître assoiffé de tant de vérités,

Savait ce que c'était ses écrits imposer,
Avec l'ardeur au coeur d'un grand maître,
Seulement je puis un peu entrouvrir
Sa fenêtre,
Sur ce monde là , règne la ténacité.
Souvent avec vigueur eut don, de s'exprimer.

au lecteur

Toi qui passe par ici
Et toi qui en a l'envie,
Vérités ici sont cris
D'espoir gardé en mémoire,
Où donc est ce vieux miroir
Cet éclair distant du noir?

La lumière , encensoir,
Passe et là elle trébuche,
Ici en serein ,on buche
Heure où se couche le soir.

Et apparaît la lumière
Fervente à tous espoirs
Firmament de l'illusoire,
Reflet vrai de ce miroir.

Aurore je ne demandais pas un résumé de l'œuvre de Victor, mais un résumé du pataquès.

Bon, peut-être que dans le fond c'est aussi difficile... C'est le problème des pataquès, la difficulté...

Discours sur une erreur posée sur un poème de Victor Hugo

ombre pour lui restée féminine si je ne me trompe...

C'est Lo qui me demandait en alexandrin un résumé de l'œuvre de Victor Hugo, rien que cela...