je trouve ça bien moi d'écrire ici mes 1er jets et de les relire .Cela me permet de constater a quel point j'ai besoin de travailer .Tout est écrit rapidemment et j'arrive a voir quand j'ai envie ou pas . Quand j'ai envie de partir ou pas . On dirait que je rue dans des brancards en fait . C'est amusant à constater ...
Je navigue à l'aveugle aveuglée par le vent
Qu'importe si la goutte qui quitte l'océan
Se retrouvera seule, pourvu qu'elle ait le temps
De se sentir unique en quittant l'océan
Je navigue à l'aveugle aveuglée par la pluie
Qu'importe si le doute qui t'habite me prend
Il me trouvera seule pourvu que j'ai celui
De me sentir unique seulement en t'aimant .
Je navigue à l'aveugle aveuglée par l'amour
Qu'importe si mes jours se portent sur les tiens
Et qu'ils meurrent à leur tour de peine et de chagrins
Tu me retrouveras sur ta route toujours
"La vitre du train est embuée. J'y écris ton prénom . Un tunnel te vole à moi. ce n'est plus ma saison .Une gare passe et s'éfface . Les papillons s'enlacent dans un tourbillon . Des immeubles surpassent des maisons . Une cheminée signe d'un trait le ciel . Sur quel quai tu étais ? Des champs vont en s'éparpillant sur une image . Un autre train partage ce moment . Mes paupières se plissent pour qu'hier s'y glisse . Mon menton tremble comme pour se défendre . J'étais à l'heure pour une fois . Je suis montée sans toi . Mes larmes se préparent . Elles se garent . elles prennent un train comme moi . Un train sans toi . Un mouchoir en papier et des pensées de soie . Une mémoire en moins . Une histoire de plus . Une gare . Un train . Des voyageurs ailleurs . Un monde de douleur car un monde sans toi . Je laisse ton prénom et je descends du train . Mon mouchoir est tombé .Dedans il y avait 1000 rêves . Un amour s'achève dans un bout de papier . Un autre quai de gare où je ne t'attends pas. J'étais à l'heure pour une fois .
"
J'ai retrouvé ça en faisant du ménage sur mon ordi je le mets là ... j'y reviendrai + tard
"Tes impénétrables songes
Du haut de leur silence
Portent leur consistance
En moi, comme un éponge.
J'absorbe alors les moindres
De tes gestes, je creuse
Tes pensées en vacation
Celeste,tes divines
Et divins lieux et
Je reste, comme on reste
Planté là devant la toile
Qu'on ne sait pas comprendre
Tel un enfant que l'on a pu surprendre
Essayant de mentir pour pouvoir se défendre
Et sur ces vagues perméables
Où coulent en grains de sable chaud
Tes perles d'émotions louables
Moi je navigue en matelot
J'ai même perdu ma boussole
Et ses étoiles dans le le lot
Le nord s'affole sous leur rouleaux
Comme un aimant que rien n'attire
Et tous les poles se retirent
Pour mieux me perdre dans tes eaux
Ainsi, je suis amoureux
De toi de toi de toi
Ainsi, je me trouve au creux
De chacun de tes endroits
Sur la fine rosée que posent
Les matins emplis de fraicheur
Mon idéal se tanspose
Vers tes allures de candeur
Je souque alors comme un malade
Hissant mes voiles vers tes heures
Mais tes rafales sur mon large
M'obligent alors à contre coeur
A empanner et ma douleur
Se compte au temps d'un naufrageur
Ainsi je suis amoureux
De toi de toi de toi
Aussi, je me trouve au creux
De chacun de tes endroits
Que risquerais-je à t'aborder
Toi lune dansant dans la nuit
Quand des milliers de sirènes
M'ont déjà tiré de mon lit
En me donnant tellement de peine
Pour remonter mon fil de vie
Moi je voudrais que tu m'entraînes
Vers tes fonds même je t'en supllie
Je t'offirai mon oxygène nous iront
Là où tu as envie, je ne serai plus capitaine
Que de ton vaisseau dans tes nuits
Ainsi je suis amoureux
De toi de toi de toi
Ainsi nous serons a deux
Unis dans le même endroit
"Prête moi ton buvard j'ai fait des fautes un peu partout
Mon encre à trop coulé et mes pages sont noires
J'ai besoin d'un buvard et je n'en trouve pas
Je ne veux pas me salir en essuyant sur moi
Des fautes qu'un autre m'a forcée à faire là
En échange je te donnerai le reste de mes pages
celles qui sont encore blanches et qui restent à ecrire
nous recommencerons comme des enfants sages
Un histoire qui fera moins souffrir
Prête moi ton buvard je ne veux plus pleurer
et voir mes larmes s'écraser sur ces pages
Je ne veux plus rester là mais être autre part
autre part avec toi a vivre et à t'aimer
"On a beau dire c'est beau une lagune
Quand des franges de mer obeissant aux lunes
Y déposent en vrac la vie en particules
Qui jaillera plus tard en rondes et en bulles
Mais il faut dire qu'en voyant la lagune
Séparée de sa mer que les marées reculent
On a envie d'aller dire à ces lunes
Que la vie qu"elles déposent en fines particules
Ne pourra plus jamais quitter cette lagune
A moins qu'une tempête que l'on attendait pas
Se charge à coup de deferlantes de remettre à la mer
ce quelle avait deposé là obeissant aux lunes fières
Et la vie s'en ira loin au large tout recommencera
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