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Posté à 14h34 le 16 May 17
faudra pas le dire à la maitresse hein ...
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Posté à 14h42 le 16 May 17
10 par beau temps :)
sinon tu peux expliquer pour le vers ?
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Posté à 14h49 le 16 May 17
hepta ? c'est quoi cette bestiole ?
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Posté à 14h52 le 16 May 17
Ho mon Dieu ! 7 pieds ! un monstre !
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Posté à 14h53 le 16 May 17
Je vais me faire punir, je le sens bien :)
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Salus
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Posté à 14h58 le 16 May 17
il n'y en a qu'un, d’heptasyllabe ! (recompte)
Mais, oui, c'est donc "dans ton col de couleur de rose"
(pas beau ? allez vous plaindre à Du Bellay !)
Il y a encore un doute sur ce texte, mais j'ai calé dans mon enquête et nous attendons - patiemment- les résultats des recherches marcekiennes.
(D'autre part, l'injonction à "compter" est assassine de l'art ; on doit "scander", plus exactement)
Euh...C'est quoi, tes bonbecs, Sylvain ?
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Posté à 19h20 le 16 May 17
c'était des bonbons arlequin ...y en a plus....trop tard !
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Posté à 19h46 le 16 May 17
Lien internet
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Posté à 19h48 le 16 May 17
Ecoutez "Autre baiser" le poème de Joachim Du Bellay, Interprété divinement par Caroline Clair ...
Pour écouter la version complète, cliquez sur les écouteurs;
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Posté à 22h55 le 16 May 17
Voilà un autre baiser bien plus moderne !
Merci, Marine !
Je me souviens avec émotion de mon premier baiser ! Sous un clair de lune radieux en Corse ! Et c'était en 59 ( Vous saurez tout ! )
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Posté à 23h46 le 16 May 17
Tout à fait charmant!
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Salus
Membre
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Posté à 09h18 le 17 May 17
Pour clore ce "Baiser", qui se nome en fait "Autre baiser" (et pourquoi Amputer le titre ?)
Je vais vous donner la version que me suggère ma logique poétique, si tant est qu'il en soit une, et que les mânes du preux Bellay me pardonnent si je le trahis, car il y a une petite chance pour que, au contraire, je le réhabilite :
Le quatrième quatrain me semble inversé, je pense (prudemment) qu'on devrait y lire :
"Quand le soupir de ces odeurs
Où nos deux langues qui se nouent
Moitement folâtrent et jouent
Eventant mes douces ardeurs,
Il me semble être assis à table
Avec les dieux, etc."
Car le sens en est cohérent, plutôt que :
"Quand le soupir de ces odeurs
Où nos deux langues qui se jouent
Moitement folâtrent et nouent,
Eventent mes douces ardeurs,
Il me semble être assis à table
Avec les dieux, etc."
...Vu que La Pléiade ne flirtait avec aucun surréalisme baroque ! ("et nouent...quoi ?)
Pour corser l'histoire, je subodore que le français du 16ème n'est point exactement celui du texte, je condamne cette manie de moderniser la langue d'origine ! la poésie, c'est de la musique ! et ce n'est pas une métaphore, pourquoi décaler les notes ?
(mieux vaut décaler les sons* !)
Mon cher Watson, je dirais même plus : il y a là quelque chose d'étrange...
Voilà, forte récompense (un bonbec) à qui apportera quelque chose de probant à l’enquête !
*Oups !
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Posté à 13h37 le 17 May 17
Alors, adieu veau vache bonbec :(
je ne sais pas, je ne sais plus , je suis perdu ...
mais de voir une personne s'investir autant pour la poésie c'est très plaisant....:)
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Salus
Membre
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Posté à 14h16 le 17 May 17
Zut ! impossible d'écouter Caroline clair !
(Cher Sylvain, je ne m'investis pas pour, je me sens investi par !)
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Posté à 14h30 le 17 May 17
Salus, il te faut l'ouvrir dans Deezer . Là tu peux l'entendre !
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